Eurovision 2019 ou le lobby LGBT en action
Disons-le tout net la nouvelle problématique posée par cet Eurovision n’est pas celle du travestissement, que l’on rencontre en France dans le cadre de spectacles depuis les années 60 avec le célèbre cabaret « chez Michou » (que fréquentait notamment Yves Mourousi), et plus tard certaines revues du Moulin-Rouge.
Ce qui revêt ici une importance capitale, c’est l’inquiétante volonté de la France de n’être plus représentée que par des femmes ou des hommes efféminés et/ou issus de l’immigration…Ce sont les schémas traditionnels de représentation et de perception qui sont altérés par les institutions et lobbies, qui effacent progressivement de la conscience collective toute image de virilité ou d’identité : le Français ne peut plus, ne DOIT plus être masculin et européen.
Ni les sexes ni la sexualité ne sont ici en cause en tant que tels, mais bien la volonté délibérée d’éliminer totalement la norme de référence traditionnelle – l’européen hétérosexuel – dans le cadre d’un événement qui rassemble plusieurs millions de téléspectateurs, et qui constitue ainsi au même titre que les compétitions de football un formidable outil de conditionnement et de propagande.
Israël, un territoire européen?
Ce n’est pas par hasard que « l’Euro »- vision 2018 fut remporté par une artiste israélienne, alors que le concours de 2019 a lieu précisément sur le territoire de l’État hébreu : il s’agit de faire admettre progressivement aux populations l’aberrante conception selon laquelle l’état israélien doit faire partie de l’ensemble européen.
Ce qu’il faut donc retenir de l’Eurovision, c’est sa nature d’outil « diplomatique » des temps modernes, qui permet à ceux qui se sont approprié la France de la refaçonner selon leur vision du monde.
Pour notre part nous attendons simplement avec impatience le candidat de la Finlande, pays européen qui créa la surprise en 2006 avec le groupe de hard rock Lordi, puis en 2015 avec PKN, formation punk (dont les membres ont tous un handicap mental) doté d’un son qui rappellera à certains leurs années “Doc Marten’s”